Le regard fixe d’une photographie peut etre envahissant lorsque nos yeux s’y posent, pointant l’objectif là ou on ne le veut pas ou en s’immiscant dans une intimité de ce fait detruite par cette intervention. Cela n’est pas le cas avec Alex Perret et sa série de portraits sur la vie quotidienne à Tbilisi. Ici ce regard fixe laisse une perspective unilaterale et engage un dialogue entre le photographe et son sujet, soigneusement placé dans l’environement donné.Les images soutiennent donc les traces , aperçus de conversations tenues, capturant et partageant des moments personnels de l’indulgence patiente et de l’interactions joyeuse.

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